Reda Mourah

Voici mon histoire,

Je m'appelle Reda Mourah, je suis compositeur de musique de film et mes origines sont Algériennes.
Je suis né le 14 février 1981 à Alger, mon enfance est semblable à ceux qui ce sont intéressés à la musique classique dès le plus jeune âge.

Je me souviens encore du jours où j'ai écouter des musiques de Jean Sébastien Bach, j'avais 5 ou 6 ans, ce jours là à déterminer ce que je devais faire dans ma vie, je me suis rapidement identifier à ces musiques, j'en ai entirer ma perception des choses, la force, la peur, la grandeur de l'univers et beaucoup d'autre emotions et valeurs qui caracterise chacun de nous.

Je vous éviterai les détails que j'étais surdoué en musique et que je pouvais mémoriser chaque son que j'entendais, ce qui m'a ensuite induits en erreur car à 11 ans (1992) je pensais vraiment que j'avais composer de nouvelles musiques alors que la plus part d'entre elle appartenait à de grand compositeurs comme Éric Satie, javais mémoriser inconciament les mélodies des boîtes à musiques de chaque maison que je visitait avec mes parents.

J'ai étudier le classique très jeune chez une professeur Russe, elle m'avais appris les meilleurs techniques pianistique qui mon beaucoup servie par la suite, car beaucoup plus tard, j'avais cette capacité à pouvoir réinterpréter toutes musique qui existait ou que je pouvais imaginer.

Grâce à ce pouvoir magique, je me suis rapidement intéresser au Blues à mes 14 ans (1995), étant adolescents et un peux rebelle à cause de la situation du pays, je trouvais en cette musiques une certaine liberté d'improvisation que je ne connaissais pas dans le classique. Puis au Rock (Heavy Metal) avec le groupe Atakor en (1997)

Puis grâce au grand compositeur de musique de film Safy Boutella qui m'a offert mon 1er RealBook (1999) je me suis vite intéressés au Jazz Américain, je me souviens encore des jours où on ce lançait le deffit de déchiffrer en live et devant un publique de vip des standards jazz américain avec mon quartette que j'ai former à mes 20 ans (2001) pour animer des soirées.

D'où je vien il n y a pas d'école de musique de film alors j'ai décider de tenter ma chance à Paris, je n'avais pas les moyens de me payer des cours de musiques et c'est un professeur au conservatoire de Paris dans je regrette encore d'avoir oublier le nom qui me conseil d'apprendre et de poursuivre mon cursus en autodidacte, il m'avais recommendais deux livres, le livre de jazz de Marc Levin ainsi que Clé pour l'harmonie de Jo Anger weller. Je retourne à Alger avec ces deux livres et c'est comme ça que j'ai commencer à écrire mes premières partitions pour orchestres modernes ou symphoniques. Et pour les interpréter je devais aussi les diriger par peur d'avoir un résultat différent de ce que j'imaginais.

J'ai eu l'occasion de diriger plusieurs petits orchestres modernes où ensembles de violons, mais je ne vous cacherais pas que j'ai diriger seulement une seule fois dans ma vie l'orchestre symphonique.

En 2010 je participe au concours national de créativité ou je décroches le prix du Président de la République avec une composition pour orchestre symphonique.

Mais quelque part ce n'est pas seulement ça ce que je voulais faire réellement, je ne comprend toujours pas ce désir de participer à raconter des histoires, ou d'être un composant d'une œuvre, je me pose encore ces questions et je suis sûr que la réponse est chez vous.

C'est enfin en 2015 et à titre bénévole que je participe à mon 1ère cours métrage pour grand écran a fin d'aider un jeune cinéaste pour finir son film et participer en OFF au festival de canne 2016 avec le film "Dhayen", je lui offre d'abord le mixage et puis en cours de mixage on ce rend compte qu'il fallait composer aussi de la musique pour certaines séquences et puis boom je me retrouve ici à vous raconter ma vie.

En parallèle à ma carrière de compositeurs, j'ai fait beaucoup d'expérimentations et j'ai essayer d'adapter cette approche de musique au production de mon entourage, et c'est comme ça que je me suis retrouver à composer et arranger des musiques pour plusieurs artistes Algeriens, et c'est ainsi que j'atterris au saint du groupe "Ifrikya Spirit" le group avec qui j'ai tourné au USA en septembre 2016, Paris 2018 ... Zanzibar 2019

En 2016, j'ai tenté l'expérience d'enregistrer une musique pour un documentaire avec une équipe 100% locale et acoustique, j'ai rassembler un ensemble improviser de musiciens qui m'ont honoré par leurs présences et leurs efforts pour produire la musique de "Un passé pour l'avenir (2016)" un documentaire commender par le ministère de la culture Algérienne et qui parle de la richesse multiculturelle ainsi que le patrimoine culturelle Algériens. J'avais à gérer les contrainte du risque que j'ai pris en adaptant les mélodies au différents niveaux des pupitres que j'avais car les musiciens n'étaient pas du même niveaux, je crois que l'un d'eux était à ca 2eme année de musique alors que le 1er violon avait un grand nom en Algérie, mais c'était ça le challenge.

Puis en 2017 je finis le cours métrage "Point Zéro" avec une toute autre approche de production de musique de film. Un film de Nassim Boumaiza avec lequel il participe à plusieurs festivals internationaux.

Mes derniers travaux on était bien accueilli chez le publique Algerien, j'ai fait l'adaptation de quelques titres de mon album Elemental Alchemy à la chorégraphie (El Rakch) de Ahmed Khemissi (JTC 2019), Puis j'ai eu la chance de travailler sur la bande annonce du long métrage Heliopolis de Djaffar Gacem, puis je compose plus de 350 tracks pour la série Achour Achar saison III la plus grande série que je connais en Nord Afrique, et enfin, dernièrement c'est le grand cinéaste et producteur Mr Belkacem Hadjadj qui me sollicite pour son long-métrage, je ne peux pas en dire plus à ce sujet car la phase de communication n'a pas encore débuter.

J'ai aussi beaucoup travailler pour la TV, j'ai composer les musiques d'environ 100 pubs minimums et l'habillage d'une chaîne TV ainsi que plusieurs génériques de feuilletons ou sitecom Algérien.

Vous m'avez demander de tout vous dire alors j'ajouterai que j'ai aussi fait preneur de son cinéma, senior sound mixer pour TV et Cinéma…

Si vous pouvez manipuler le timbre d'un ensemble d'instruments alors vous êtes sûrement predisposer à comprendre la technique du son.

Enfin, je parle Français et Arab et je suis entrain de faire de mon mieux pour parler et comprendre l'anglais qui n'est pas pour moi une langue maternelle.

Hans Zimmer à dit, si on vous dit qu'il y a une règle alors casser la.
Je crois que c'est ce que j'ai fait durant toute ma vie.

Mes références en musiques de film sont James Hörner, Dan Davis, Danny Elfman, John Williams, Hans Zimmer, Ennio Moricone.

Pour les crédits mon nom a été écrit en Arab sur les génériques et il s'écrit ( رضا موراح ) car, jusqu'ici j'ai participer uniquement à des productions Algérienne, mais je ne vous cacherai pas que j'ai l'ambition de partager le mieux que je peux faire avec vous.

Reda Mourah.